di Vito Imburgia
Vito reflechit.
Pour toi, la mort n’est rien,
alors qu’elle viendra,
tu ne seras plus là !
Qu’importe la mort,
si on ne sait mie que la vie est finie ?
Elle soulage qui, au-delà des nuages,
songe meilleur tournage ;
pour lui, c’est la porte qui l’introduit au Paradis.
Certains l’ont bien accueillie, d’autres l’ont subie :
le prince De Curtis dirait :
c’est la règle d’égalité qu’on ne peut éviter.
Quelqu'un m’a répété que la maladie l’inquiétait,
pourtant d’autres m’ont averti
que, selon les lois de la vie,
il faut livrer ce coin aux nouveaux nés,
qui de bien lointain, ici sont conduits.
Quel cafard !
Foscolo nous a convaincu que, chantant en poésie,
on rétablit la vie des Grands
et que l’ami d’un poète jamais ne risque l’oubli.
J’ai questionné Napoléon, Manzoni et Camus:
ils ne m’ont pas répondu ! peut-être ne m’ont-ils guère entendu!
Il n-y-a rien à faire, c’est un mystère !
Le poète latin disait ne t’en soucie point,
carpe diem.
Comme Lorenzo de Firenze nous avertit,
jouis de la vie qui s’enfuit!
Fait à Villebret le 28/2/ 2010.Vito Imburgia.
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