di guido monte
(trad.
e foto di francesca saieva)
au commencement, sixsième livre virgilii patris:
je
me trouvais dans une forêt obscure
dans une forêt obscure, en larmes, lacrimae rerum
le chemin s'apaise maintenant
il
s'arrête au bord d'une terre quelconque
voilà une maison abandonnée
gravée par un fuyard du labyrinthe
(après le vol de cieux au nord de froides
ourses)
le
fuyard dedalus, le fou
l'homme des choses impossibles
l'homme qui n'arrive pas,
impuissant
il a gravé les mythes de l'éternité
la fin d'un étranger, les honneurs
devenus cauchemars
un taureau et une femme, la fille du soleil
et son enfant biforme qui erre sans but
dans l'enchevêtrement du gouffre
au mur des silhouettes gravées, un fil
en aveugle le sauver aimé avance
(il n'a point gravé le semblant de son
enfant
la main s'arrête paralysée kat’asphodelion leimona)
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